En ce début mai, il y avait à la Fondation POUS (à Auterive) 2 manifestations:
- le vernissage de l'expo de l'artiste NOFIR (http://www.nofir.fr) ,
- et une visite du musée des anciens élèves du Lycée Bellevue autour d'un déjeuner.
J'étais donc du voyage sur Toulouse et j'en ai profité pour voir mon copain Gali(leo)
J'ai mis comme titre à cet article: Galipettes et Athosseries
En réalité, ce n'est pas Gali (qui) pette, et Athos (qui) rit.
Ce serait plutôt l'inverse !
Pourtant je suis discret, je lâche mon parfum sans aucun bruit.
Bien qu'il ait passé le cap des 1 an, Gali reste toujours un peu "gamin";
Sur le terrain de foot (désaffecté) qui nous sert à l'entrainement du 100m, il préfère rester au bord et faire des trous.
Alors je prends mon mal en patience, et je me fais les dents sur un bâton !
Chez lui, c'est pareil, il se pare de voiles pour jouer les mouquères, à moins qu'il n'ait froid, mais avec toutes sa fourrure à longs poils, ça m'étonnerait !
On se retrouve surtout la nuit pour partager le canapé que Marie-Odile nous met à disposition.
Pour l'ascension, je suis rentré à Marseille, et j'ai eu la surprise de voir que la végétation avait poussé de manière invasive et quasiment tropicale.
Moi qui suis haut sur pattes, je me suis perdu dans une forêt de coquelicots de 1m de haut.
Et au milieu de la promenade, c'était carrément surréaliste car les ravenelles (merci Carole pour m'avoir donné le nom de ces petites fleurs jaunes) dépassaient les 1,50 m de haut.
Heureusement, je vais avoir mon dernier rappel de vaccin à la fin du mois.
J'aurais donc la "totale", y compris la leishmaniose, qui n'est plus limitée au Sud-est, mais couvre de plus en plus toute la France.